
« Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui aime son fils Astyanax et son mari Hector qui est mort. » Un jeu de dominos dans lequel Racine se plaît à tresser jeux de pouvoirs et transports amoureux. Gwenaël Morin en démonte la structure jusqu’à l’os et se joue des alexandrins pour mieux en faire … Continuer la lecture de « Andromaque à l’infini » du 12 au 28 octobre aux Métallos (mise en scène par Gwenaël Morin)