« Andromaque à l’infini » du 12 au 28 octobre aux Métallos (mise en scène par Gwenaël Morin)

« Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui aime son fils Astyanax et son mari Hector qui est mort. » Un jeu de dominos dans lequel Racine se plaît à tresser jeux de pouvoirs et transports amoureux. Gwenaël Morin en démonte la structure jusqu’à l’os et se joue des alexandrins pour mieux en faire vivre la musique et la ponctuation. Pas de décos, quatre comédien·ne·s jouent tous les personnages. C’est ici et maintenant, à 100 à l’heure, la puissance « infinie » du verbe de Racine, aujourd’hui…

https://www.maisondesmetallos.paris/fr/le-programme/spectacle-andromaque-a-l-infini